Les cours commencent par une préparation physique basée sur les échauffements et étirements.

 

Puis le travail seul des formes de base (Kihon) et surtout l'application par le travail à deux.

 

On y développe le « Goho », c’est-à-dire les percussions (pieds, poings, genoux…)

Cette catégorie comprend les techniques d’esquive, de parade et de contre-attaque sous forme de coups de poings et de coups de pieds.

Il s’agit de frapper les points sensibles : c’est l’art de l’atemi. Les techniques Goho sont aussi appelées techniques dures.

 

                 puis le « Juho » : les dégagements, les clefs, les immobilisations etc.

Ce nom regroupe l’ensemble des techniques utilisées sur une saisie.

La richesse technique du Shorinji Kempo permet d’envisager des dégagements ou des projections de l’adversaire, ainsi que des immobilisations, des luxations ou des torsions d’articulation.

 

Les techniques sont par la suite développées dans une mise en situation de self-défense.

 

Les entraînements se poursuivent par l’explication des principes du Shorinji Kempo (roue, levier, déséquilibre…) et de la philosophie Zen.

 

Ils se terminent par le « Seiho » :

Ce système de massage et de manipulation de certains points de pression du corps humain permet une remise en forme après l’effort de l’entraînement.

En rétablissant la circulation d’énergie, ces massages permettent d’alléger la douleur due à des muscles contractés ou à des articulations trop sollicitées.

 

Puis intervient une séance de retour au calme (Chinkon).